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Tendre vers la sagesse et l'amour
à chaque instant qui vient

La Santé & Le bien être :

Donc L’agriculture, l’élevage, l’eau, l’air, le territoire. Voici le défi sociétal en cette période où la gestion politique penche, du fait du conflit d’intérêt, vers la pire gestion qu’il ait été donné de faire à tous ses niveaux !

Évoquer la santé sans la nourriture, l’eau, l’air et le respect de la planète est tout simplement impossible.

Les causes de toutes maladies proviennent de ces éléments que nous ingérons, de la vie que nous avons. Tout devient plus simple et cohérent si nous commencions par respecter et exploiter correctement ce dont nous disposons. C’est avec une saine gestion de ses actifs que la terre nous offre avec bienveillance, que notre vie pourra possiblement perdurer sur elle.

Les vrais médecins vous diront que la médecine dépend du terrain et si nous protégeons notre corps en mangeant correctement des aliments sains, en buvant une eau saine, en ayant une vie équilibrée et épanouissante : comment être malade ?

La médecine occidentale peut s’ouvrir à d’autres sciences millénaires, qui seront combinées à la nutrition naturelle découlant d’une agriculture biologique et saine, sur mesure, propre. Nous devons et pouvons produire 130 % de ce que nous mangeons dans notre pays plutôt que d’importer des produits… Cela remettra une grande partie des inactifs au travail vers ses campagnes avec un nécessaire retour à la terre, où la spéculation serait bannie de notre territoire car autosuffisant et même bénéficiaire pour ne pas peser sur l’économie du pays : les impôts payés en nature !


Qui pourrait mieux dire ça ?

« Harmonie et santé »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Résumé :

« Ce que nous appelons la vie n’est rien d’autre qu’un échange ininterrompu entre l’univers et ce petit atome que chacun de nous représente quelque part dans l’espace.

« La vie cosmique pénètre en l’homme qui l’imprègne de ses propres émanations, puis la renvoie… A nouveau il absorbe cette vie, et à nouveau la renvoie… C’est cet échange permanent entre l’homme et l’univers qui s’appelle nutrition, qui s’appelle respiration et qui s’appelle aussi amour. Nous devons donc faire des échanges avec la terre pour vivre dans le plan physique, le corps ; nous devons faire des échanges avec l’eau pour vivre dans le plan astral, le cœur ; nous devons faire des échanges avec l’air pour vivre dans le plan mental, l’intellect ; nous devons faire des échanges avec la chaleur et la lumière pour vivre dans l’âme et dans l’esprit. Le jour où nous deviendrons conscients de ces échanges, nous commencerons à sentir l’univers comme une immense symphonie ! »

« Cultiver le contentement »

(Extraits pages 165 à 174)

« On ne pas souvent de l’importance de se sentir content, satisfait, et peu de gens mesurent la nocivité de cette habitude qu’ils ont d’être mécontents de tout et de tout le monde et de troubler partout l’harmonie. Et ce qui est encore plus grave, c’est qu’à notre époque on a tendance à considérer le contentement comme une marque de naïveté, de bêtise, et le mécontentement au contraire comme un signe d’intelligence.

(…)

« Si les gens étaient honnêtes, lucides, ils constateraient qu’en réalité le côté positif dans la vie est toujours plus important en quantité et en qualité. Un exemple très simple, ordinaire : sur la Côte d’Azur il y a dans l’année plus de beaux jours que de jours pluvieux, mais à la moindre averse, tout le monde se plaint du mauvais temps ; les gens oublient qu’il fait beau depuis des semaines. Eh bien, on agit ainsi dans tous les domaines de la vie. Être mécontent, c’est avouer que l’on ne veut pas avoir une vision claire de la réalité. Il faut au moins avoir l’honnêteté de voir les deux côtés. »

(…)

« Celui qui se rend compte qu’il n’arrive pas à manifester les qualités qu’il espère posséder, ne doit pas se décourager ou se révolter. S’il est découragé et furieux contre lui-même, ou contre les autres, ou contre le Seigneur, c’est très mauvais pour lui ; il faut qu’il soit plus humble, sinon cela prouve que son raisonnement n’est pas au point, et qu’il est encore soumis à sa nature inférieure qui a réussi à se faufiler à un moment où elle a trouvé des conditions très favorables.

(…)

« Il est permis de s’attrister, mais seulement des insuccès ou des malheurs des autres, pas de ses propres désirs et ambitions inassouvis. Que ceux qui tombent fréquemment dans cet état sachent qu’ils ne sont pas très évolués, car leur tristesse est liée à des causes inférieures.

            « Pour résumer cette question, on peut donc dire qu’il existe un courant de vie et un courant de mort, et le premier degré de la mort est le mécontentement. Oui, car si on ne prend pas de précautions, le mécontentement se transforme en peine, la peine se change en douleur. Cette douleur qui ne touche d’abord que le plan psychique finit par gagner le plan physique. Un jour elle devient maladie et la maladie entraine la mort. Entre le mécontentement et la mort, les étapes sont évidemment nombreuses, mais peu à peu l’un mène inévitablement à l’autre. Le contentement, au contraire, vous place dans le courant de la vie. Celui qui est content se sent remplis de gratitude envers le Ciel et vit dans la paix ; cette paix lui donne la force, la force lui apporte la plénitude et il commence à goûter à la Vie éternelle…

            Celui qui aspire à la perfection, qui désire que les esprits de la nature l’aident dans son travail, doit se montrer reconnaissant de tout ce qu’il possède et apporter quelque chose de positif aux autres. Désormais, sachez donc être content, et précisément des choses que vous avez dédaignées et négligées. Chaque jour tâchez de trouver au moins une chose qui vous émerveille et mettez-là dans votre cœur et votre intellect. Si vous remerciez chaque jour le Seigneur, si vous êtes content de tout ce qu’Il vous donne, vous posséderez le secret magique qui peut transformer votre vie, et même, les esprits lumineux de la nature s’approcheront de vous pour vous aider. »