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"Les semences du bonheur"

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Quelques extraits de cet ouvrage :

(…)

Page 57 : (…)

Tout être humain, quel qu’il soit, cherche consciemment ou inconsciemment à donner un sens à sa vie. Il a besoin d’une raison d’être et chaque jour il essaie de la trouver à travers tout ce qui se présente à lui, dans sa vie familiale, sociale, professionnelle. Mais en réalité, aucune réussite, aucune possession matérielle ne peut lui donner le sens de la vie, car justement, il s’agit d’un « sens », et le sens n’est pas matériel, on ne peut le trouver que très haut, dans les plans subtils. (…)

Page 61 : (…)

C’est en se décidant à participer à la réalisation du Royaume de Dieu et de la Justice que vous trouverez le sens de la vie. Car là, quoi qu’il vous arrive, vous savez que vous êtes un ouvrier dans le champ du Seigneur et vous vous sentez comblé, heureux, soutenu parce que vous participez à un grand travail. Vous n’êtes pas seul, vous n’êtes pas abandonné. Tous peuvent, dès aujourd’hui, au lieu de travailler pour eux-mêmes, pour leurs besoins, leur satisfaction, ils peuvent dire : « Désormais, je veux travailler pour le Royaume de Dieu et sa Justice. » Et même s’ils sont inconnus sur la terre, leur nom est écrit dans le Livre de la Vie et ils sont comblés par les bénédictions du Ciel. Rien n’est plus glorieux que de s’engager dans ce travail. Oui, il faut aller toujours plus loin, avoir des aspirations toujours plus larges, plus vastes : c’est cela véritablement qui donne un sens à la vie. (…)

Page 63 : (…)

Un fois que l’on a trouvé le sens de la vie, tout pâlit à côté, et les soucis, les chagrins de l’existence quotidienne perdent de leur importance. Tous ceux qui passent leur temps à se plaindre et à se lamenter parce qu’il leur manque de l’argent, qu’ils ne remportent pas les succès espérés, qu’ils sont abandonnés ou trahis, montrent tout simplement qu’ils n’ont pas trouvé le véritable sens de la vie. Si c’est l’argent, l’ambition, la possession d’un homme ou d’une femme qui représentaient pour eux ce sens, alors là, évidemment, les occasions ne manquent pas d’être déçus et malheureux.

Trouver le sens de la vie, c’est atteindre un état de conscience tellement élevé qu’il embrasse l’univers entier, toutes les petites choses de l’existence s’y perdent et s’y dissolvent. Même quand il est méprisé, persécuté, celui qui a trouvé le sens de la vie se sent réconforté et c’est lui qui regarde les autres avec pitié, en se disant : « Les pauvres, ils ne voient pas que, quoi qu’ils disent, quoi qu’ils fassent, moi je vis dans l’immensité, dans l’éternité, je participe à la vie cosmique. » (…)

Page 71 : (…)

C’est pourquoi, faites des efforts pour entrer en vous-même et là, commencez à chercher ce qui est immuable, éternel, Dieu, l’esprit. C’st alors que vous trouverez le bonheur. Une fois que vous l’aurez trouvé, tâchez d’y rester accroché, personne alors ne pourra plus vous rendre malheureux. Quelle que soit votre situation, que vous soyez riche ou sans argent, glorieux ou dans les opprobres, qu’on vous aime ou qu’on vous haïsse, vous êtes au-dessus des changements, vous planez, vous vivez dans l’éternité. (…)

Page 72 : (…)

Pour être heureux, vous devez trouver un point inébranlable auquel vous accrocher, sans que jamais rien ne puisse vous faire perdre cette position d’équilibre : ce que l’on appel en physique l’équilibre stable. Regardez le pendule : on le fait osciller à droite, à gauche, mais il revient toujours en position d’équilibre parce qu’il est attaché à un point fixe. Eh bien, l’homme doit trouver ce point en lui-même et s’y accrocher. C’est alors qu’il peut dire, comme l’Initié de l’ancienne Égypte : « Je suis stable, fils de stable, conçu et engendré dans le territoire de la stabilité. » (…)

Page 73 : (…)

Car la paix, comme le bonheur, est le résultat d’une communion, d’un échange parfait avec les principes, les entités et toutes les existences du monde de l’âme et de l’esprit.

            En haut, la paix et le bonheur ne font qu’un, ils ne peuvent exister séparément. Vous ne rencontrerez pas quelqu’un qui soit vraiment heureux sans être dans la paix. La paix et le bonheur représentent la même réalité exprimée différemment. La paix vous met en harmonie avec toute la création et, quand vous vivez en harmonie, vous ne pouvez pas être malheureux. Les énergies, les forces de l’univers vous pénètrent et vous ne manquez plus de rien.

            Vous ne comprendrez jamais ce qu’est le bonheur si vous vous contenter de le considérer comme une sensation agréable, ainsi que l’imaginent la plupart des humains. Le véritable bonheur est, bien sûr, une sensation agréable, mais il est aussi lumière et puissance. (…)

Page 74 : (…)

            Le bonheur n’est rien d’autre qu’un état de conscience, une manière de comprendre, de sentir, de se comporter, une attitude dans la vie, c’est pourquoi il n’appartient qu’à ceux qui savent le trouver grâce au travail spirituel. Le bonheur, comme la paix, est une synthèse : si on comprend bien les choses, et si on les sent bien, on a la possibilité de bien agir et on est heureux. Mais pour y parvenir, il faut accepter la Science initiatique, car c’est elle seule qui nous apprend à éduquer notre intellect, notre cœur et notre volonté, c’est-à-dire à maîtriser la nature inférieure, la personnalité, pour donner à la nature supérieure, l’individualité, toutes les possibilités de s’épanouir.

(…)

Le bonheur se trouve dans un lieu inaccessible à tout ce qui est négatif. (…)

Page 75 : (…)

            Que faut-il donc faire ? Supplier votre nature divine, le principe christique, de venir s’installer en vous. Ainsi, au lieu d’être toujours comme un vainqueur qui n’est jamais sûr de sa victoire, vous avez un associé puissant, omniscient, sur lequel vous pouvez compter. (…)

Page 76 : (…)

            Et quand la nature supérieure est véritablement venue s’installer en vous, alors oui, vous goûtez un bonheur inexprimable. Vous êtes heureux et vous ne savez même pas pourquoi. Ce bonheur – et c’est cela le plus étonnant - est un bonheur sans cause. (…)

            Le vrai bonheur, c’est comme l’air que l’on respire : est-ce que vous avez à vous préoccuper d’aller chercher de l’air ? Non, l’air vient à vous, il est là, vous êtes plongé en lui et vous respirez sans y penser. Tout le reste, l’eau, la nourriture, l’argent, on doit souvent aller le chercher, tandis que l’air, non, et la lumière non plus. Vous respirez sans arrêt et il n’y a pas de plus grande joie que de respirer. Si vous ne me croyez pas, retenez votre respiration pendant quelques instants, vous verrez… Eh bien, le bonheur est comparable à l’air que vous respirez. (…)

Page 77 : Inspirer, expirer… inspirer, expirer… le bonheur, c’est la respiration de l’âme… (…)

Page 81 : (…)

            De nos jours, les gens accordent une place excessive aux activités intellectuelles et aux réalisations techniques : on leur a présenté comme idéal l’instruction, l’accumulation des connaissances et les avantages apportés par le progrès technique. Eh bien, justement, accumuler des connaissances et utiliser de plus en plus d’appareils, ou des appareils de plus en plus perfectionnés, ce n’est pas cela vivre. En prenant cette direction, l’homme trouble l’ordre naturel des choses et la nature se défend. (…)

Page 84 : (…)

            Un véritable enseignement initiatique vous apprend à mettre l’accent sur la vie, votre vie. Cela ne vous parait pas très important, parce que vous ne vous rendez même pas compte que vous sacrifiez votre vie à toutes sortes de choses qui sont bien moins importantes qu’elle. Vous portez sans cesse votre attention sur les objets, les événements, les agitations à l’extérieur de vous, et pendant ce temps vous laissez votre vie s’appauvrir en vous. C’est un très mauvais calcul.

            Avez-vous quelquefois pensé au temps que vous passez réellement avec le monde extérieur ? Quelques minutes, quelques heures… Tandis que c’est toute la journée et toute la nuit que vous êtes avec vous-même. Alors, ne voyez-vous pas que c’est votre vie intérieure, le plus important ? Il faut que l’abondance, la richesse et l’ordre soient en vous… On voit le monde extérieur se remplir d’objets, de produits, d’appareils, de constructions, d’armes de toutes sortes, tandis que les humains sont de plus en plus habités par le chaos, la misère, la faiblesse, le vide. Il est temps qu’ils pensent à réaliser intérieurement tout ce qu’ils s’occupent à réaliser à l’extérieur. C’est en nous que nous devons avoir la richesse, la beauté et la force ; car ce que nous aurons ainsi obtenu, rien ni personne ne nous l’enlèvera. Pas même la vieillesse.

Page 87 : (…)

On voit des quantités de gens employer leurs énergies à défendre toutes sortes de causes qui ne valent pas grand-chose et qu’ils abandonnent bientôt, d’ailleurs, pour en défendre d’autres. Mais très peu se mobilisent pour servir cette grande idée du Royaume de Dieu et de sa Justice. Vous direz : « Le Royaume de Dieu, mais c’est une utopie, jamais il ne se réalisera ! ». Écoutez, ce n’est pas notre affaire. Notre affaire à nous, c’est de travailler pour sa réalisation : car c’est le seul idéal qui mérite qu’on lui consacre sa vie. Est-ce qu’il se réalisera ou non, on ne nous demande pas notre opinion. Ce qui est sûr en tout cas, c’est que si personne ne fait rien en pensant que tous les efforts sont inutiles, alors évidemment, il ne se réalisera jamais. (…)

Pages 108 – 109 : (…)

            Pour y voir vraiment clair sur le sujet, il faut revenir à la question des deux natures en nous : la nature inférieure et la nature supérieure. Tant que l’homme n’a pas entrepris un travail sur lui-même afin de maîtriser les tendances égocentriques de sa nature inférieure, évidemment le développement de sa sensibilité s’accompagne de difficultés et de souffrances de toutes sortes. Et l’instruction qu’on donne dans les écoles et les universités ne fait malheureusement qu’aggraver cette tendance : en mettant l’accent sur l’acquisition des connaissances et non sur la formation du caractère, on ne cesse de fournir à la jeunesse des prétextes pour devenir de plus en plus égoïste, difficile et exigeante. Rien n’est fait pour enseigner aux étudiants à se servir des connaissances qu’ils reçoivent dans un but plus noble, plus généreux. Au contraire : dans chaque domaine, chacun apprend à se servir de ses connaissances pour son élévation sociale, son prestige, son bien-être matériel. Et lorsqu’ils deviennent des adultes responsables dans la société, les uns les autres ne pensant qu’à tirer la couverture à eux, il s’ensuit partout du mécontentement, de l’agressivité, des querelles, car chacun se sent attaqué et lésé par le comportement égocentrique des autres. (…)

Page 110 : (…)

La sensibilité n’est pas seulement cette faculté qui nous fait nous émouvoir, nous émerveiller devant les êtres que nous aimons, la beauté de la nature ou les œuvres d’art. Elle nous ouvre aussi les portes de l’immensité, de la lumière, elle nous donne la compréhension de l’ordre divin des choses, elle nous permet de vibrer à l’unisson avec les régions, les entités et les courants du Ciel.

C’est cette sensibilité que tous doivent cultiver, sinon l’humanité va régresser. On voit tellement de gens qui donnent l’impression qu’ils sont en train de retourner au stade de l’animal, du végétal ou même de la pierre ! Oui, ils ne font aucun effort pour éduquer leur sensibilité, ils se laissent aller et quand on se laisse aller, nécessairement on retourne en arrière. Au contraire, grâce au travail sur la véritable sensibilité, notre matière devient plus fine, plus souple, plus pure, elle vibre autrement et, tout en nous rendant plus capable de percevoir le monde divin, elle nous ferme à la bêtise, à la méchanceté, aux outrages : on n’y fait même plus attention. Avant d’avoir développé cette sensibilité élevée, on réagissait à la moindre agression tandis que maintenant on ne souffre plus. C’est la vraie sensibilité, celle de l’âme et de l’esprit, qui nous protège de la sensiblerie, cette sensibilité ridicule, issue de notre nature inférieure. Alors, deux avantages : on s’ouvre à la lumière, à la beauté, à la félicité du monde divin, et on échappe aux ténèbres, aux laideurs, aux souffrances de la terre. Voilà donc un sujet qui mérite réflexion.

            Maintenant, pour développer cette sensibilité au monde divin, il est aussi très important que vous preniez de plus en plus conscience de la valeur de certains moments que vous vivez, ces moments où dans le silence, le recueillement, vous recevez une lumière, une grâce du Ciel. (…)

Page 138 : (…)

            Que faire alors pour ne pas être lassé ? Prenons un exemple très simple : la nutrition. Depuis des années, je vous répète qu’il est bon d’apprendre à manger dans le silence, avec amour et gratitude. Pourquoi ? Parce qu’en adoptant cette façon de manger, vous entrez en relation avec le côté subtil de la nourriture, et ce sont ces éléments impondérables, beaucoup plus que la quantité de matière que vous absorbez, qui vous apportent la santé et l’équilibre, mais encore ils produisent des transformations dans la quintessence même de votre être : votre cœur devient plus généreux, votre pensée plus lucide »… Voilà ce que signifie « chercher le bonheur en haut » : c’est introduire dans tout ce que vous faites de matériel des éléments de nature plus spirituelle. (…)

Page 139 : (…)

La descente de l’homme dans la matière n’est ni une erreur, ni un accident dans son évolution : elle était prévue par l’Intelligence cosmique. Pour parvenir à la totalité de la connaissance, l’être humain avait besoin de développer ses facultés intellectuelles et, pour développer ces facultés, il devait être placé dans des conditions déterminées, c’est-à-dire qui affaibliraient sa perception du monde invisible, afin qu’il puisse s’appliquer à l’exploration de la matière. Voilà pourquoi l’humanité en est aujourd’hui à ce stade de son évolution. Mais ce n’est pas le stade définitif : elle doit retourner à nouveau vers les régions de l’âme et de l’esprit qu’elle a quitté, et elle y retournera enrichie de toutes les expériences qu’elle aura faites dans la matière grâce à l’intellect. (…)

Page 142 : (…)

(…) quoi que vous soyez occupé à faire, vous devez penser y ajouter un élément spirituel pour le transformer. (…)

 

Page 145 :

            Le bonheur est comme une balle après laquelle on court, mais au moment de l’attraper, on lui donne un coup de pied… pour pouvoir continuer à courir après elle ! Car c’est dans cette course que l’on se sent stimulé : c’est dans cette recherche, cet élan pour toucher au but que l’on trouve le bonheur. (…)

Page 146 : (…)

Alors que faut-il faire ? Se mettre à la recherche de ce qui est le plus lointain et le plus irréalisable : la perfection, l’immensité, l’éternité, et en chemin vous trouverez tout le reste : la connaissance, la richesse, la puissance, l’amour… (…)

            C’est pourquoi, le meilleur conseil que je puisse vous donner, c’est de ne rien demander d’autre que ce qui est inaccessible. Tout le reste vous, le trouverez sur votre route, sans vous arrêter, sans perdre votre temps.

Page 147 : (…)

            Tous les humains, quels qu’ils soient, cherchent Dieu, mais sans savoir qu’ils Le cherchent. Ils se disent seulement qu’ils cherchent le bonheur. Mais qui ne le cherche pas ? Tous cherchent le bonheur, ils ne cherchent même que ça, mais ils imaginent toujours ce bonheur sous une forme déterminée. (…)

Page 148 : (…)

            Ce bonheur que chacun cherche à sa façon, d’après son tempérament, est une forme de la recherche de Dieu ; une recherche plus ou moins sage, plus ou moins éclairée, mais c’est toujours la recherche de Dieu. Parce que, derrière cette idée du bonheur, c’est Dieu qui se cache. C’est Lui qui a donné aux hommes cette aspiration au bonheur, afin qu’ils puissent finir par Le trouver, Lui. (…)

            Tous sont prédestinés à trouver Dieu un jour sous cette forme sublime. Mais pour Le trouver, il faut au moins L’aimer. Ce n’est pas que Dieu a besoin de notre amour. Si les grands Maîtres de toutes les religions ont enseigné l’amour de Dieu, c’est parce qu’ils connaissaient une loi magique qui n’est que la correspondance, dans le monde spirituel, de faits que nous pouvons voir tous les jours dans le plan physique. Vous lancez une balle contre un mur : il vous la renvoie. Vous lancez dans la montagne des paroles contre une paroi rocheuse : elles vous reviennent en &échos. De la même façon, lorsque vous envoyez votre amour vers Dieu, vous déclenchez cette même loi et l’amour divin est obligé de revenir vers vous. Dieu n’a pas besoin de nous, mais nous avons besoin de lui, et c’est par notre amour seulement quez nous pouvons L’attirer jusqu’à nous.

            Pour recevoir, on doit donner. Si vous ne me tendez pas votre verre, je ne pourrai pas y verser de l’eau. Si vous ne tendez pas votre cœur à Dieu, Il ne pourra pas y verser ses bénédictions. Oui, pour recevoir la force, la lumière, la sagesse, la beauté, la plénitude de Dieu, nous devons Lui donner notre amour, et c’est cet amour qui déclenche en retour toutes les grâces divines. (…)

Page 154 : (…)

Car l’intelligence, c’est aussi la faculté de se projeter dans l’avenir pour voir les conséquences de ses actes… ou de ses absences d’actes. En ne se comportant pas correctement avec les autres, on se prépare à soi-même un très mauvais avenir.

            Ne pas penser aux autres n’est donc pas seulement un manque d’amour, mais aussi un manque d’intelligence. Et ce n’est pas tout. Lorsqu’on a pas assez d’amour pour sentir ce qu’il faut faire pour les autres, ni assez d’intelligence pour le voir, eh bien on laisse trainer les choses, on ne fait pas un geste pour remédier à la situation et voilà : manque de volonté. Alors, vous vous rendez compte ! Quand il manque trois choses aussi capitales que l’intelligence qui prévoit, l’amour qui désire tout améliorer et la volonté capable d’affronter les difficultés, quel succès peut-on remporter dans la vie ? (…)

Page 155 : (…)

            Est-ce que c’est vraiment trop exiger que de vous demander encore une fois de travailler à élargir votre conscience ? Oubliez un peu tout ce qui vous manque. Quand on a la possibilité d’embrasser l’univers entier par la pensée, de communier avec toutes les entités lumineuses qui le peuplent, comment se sentir seul, démuni ou humilié ? Que vous faut-il encore pour comprendre que vous êtes riche, comblé et que vous pouvez aider les autres ? (…)

Page 157 : (…)

            Pour le Ciel, il existe seulement deux catégories d’êtres : ceux qui travaillent uniquement pour leurs intérêts, pour assouvir leurs propres désirs, et ceux qui font des efforts pour aider leurs frères, pour participer au travail de milliards de milliards d’entités dans le monde invisible qui se sont attelées à la réalisation du Royaume de Dieu sur la terre. Et ceux-là sont inscrits dans le grand Livre de la Vie comme bienfaiteurs de l’humanité.

(…)


Omraam Mikhaël Aïvanhov

(1900 - 1986)


« Dans toutes vos activités, ce qui compte le plus, c’est l’idée, le motif qui vous fait agir, le but que vous voulez atteindre. L’activité elle-même ne compte pas beaucoup ; si elle vous attire de la considération, si elle vous rapporte de l’argent, ce n’est pas ce qui doit vous préoccuper. Il se peut qu’en suivant un enseignement spirituel vous n’ayez pas l’air de faire grand-chose, mais si vous le suivez avec le désir d’alimenter, de soutenir l’idée de la fraternité universelle, vous ajoutez chaque fois quelques éléments pour votre avenir, pour votre évolution, et cela change tout votre destin. Pendant longtemps vous ne verrez peut-être aucun résultat, mais un beau jour les bénédictions pleuvront sur vous de tous les côtés, parce que tout ce que vous avez fait s’est enregistré et vous en recevez la récompense.
Les humains vous jugent d’après vos réalisations matérielles, tandis que le Ciel vous récompense ou vous punit d’après vos mobiles. Et c’est donc du Ciel que vous devez attendre la récompense de ce que vous faites en travaillant à soutenir l’idée de fraternité.»

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Une "citation du jour",  abonnement gratuit sur le site www.prosveta.fr


💜💛💜Omraam💜💛💜

 Quand l’évidence se pâme

Un livre compilé d’Omraam

Délivre tout ce que l’Âme

Doit redécouvrir sans drame

L’apprivoisement des gammes

Parfois dérive et on rame

La persévérance enflamme

La Conscience la réclame

Tous les Esprits l’acclament

Et l’égo d’ignorance se calme

Alors l’Univers offre ses lames

Pour affiner nos programmes

Pour vivre l’Instant en Sésame

Vider les doutes de leur came

Réveiller sa moitié de dame

Étouffer à l’avance les drames

Et Servir le Soleil dans l’Âme

Pour essorer nos larmes

Afin que l’Humanité palme

Dans l’Amour que l’Infini trame

Avec gratitude Merci Omraam

 SolonVous

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"Il n'y a point de chemin vers le bonheur. Le bonheur est le chemin"

Lao Tseu

 

"Vous êtes responsable de votre bonheur. Vous seul et personne d'autre."

Svâmi Prajnânpad